Et disons ceci de suite: il y a quelque chose à propos de Rory. Il est beaucoup plus intelligent que les personnages habituels des cintres assistants auxquels nous avons été habitués au cours des deux dernières années (les puissants Cribbins mis à part, bien sûr). Il enroule sa tête autour des choses plus rapidement que la plupart. Et même s’il est un peu lâche, on se demande s’il se passe un peu plus avec son personnage aussi.

Nous le rencontrons en fait lors de sa soirée de cerf ici, ce qui donne au docteur la chance de faire une entrée formidable, avant que la comédie ne se dissipe et qu’un peu de tension n’entre en scène. C’est parce que le médecin – dont les compétences sociales continuent d’évoluer, avoue clairement avoir embrassé Amy, et élabore bientôt un plan pour les remettre ensemble en passant du temps.

Ainsi, son cadeau de mariage pour eux s’avère être un voyage à Venise en 1580. Avec le recul, ils auraient dû prendre des bons IKEA à la place.

Parce que Venise en 1580, comme vous l’avez peut-être deviné, n’est pas un endroit sûr. La raison principale en est l’école de Rosanna Calvierri, un endroit où les jeunes filles vont (et leurs parents sont ravis de les envoyer), et se transforment apparemment en vampires (était-ce juste nous qui pensions qu’elles ressemblaient à une petite malédiction de Fenric-ish?). Naturellement, le chemin de l’épisode ne tarde pas à conduire le docteur, Rory et Amy dans cette direction, et les ennuis commencent bientôt.

L’histoire principale s’est parfaitement bien développée ici et est bien contenue dans le temps de 45 minutes. Nous avons été bien formés pour regarder sous la surface dans Doctor Who récent, et il s’avère que c’est précisément là que réside le problème auquel le médecin est confronté. Ce problème est essentiellement sous la forme invisible de 10 000 hommes vivant dans les eaux de Venise, cherchant à leur donner à manger des femmes.

Il y a aussi la véritable identité de Calvierri à affronter, qui s’avère également être un beau travail d’effets spéciaux, lorsqu’elle devient sans doute le nouveau monstre le plus convaincant de cette série. C’est bien de voir qu’elle n’est pas non plus une méchante rugissante, plutôt une personne logique et arrondie qui veut sauver sa race. Certes, nous avons déjà vu des gens comme ça dans Doctor Who, mais nous préférerions de loin avoir quelqu’un avec un peu de motivation réelle, par opposition à un autre ennemi absurde.

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